Mes 9 applis de rencontre qui font fureur dans la Silicon Valley (et detronent Tinder)

Piratage tout d’un site de rencontres : un ecrivain francais l’avait predit

Happn, le Tinder francais, drague l’international en levant 8 millions de dollars

L’expert d’la drague Sur les forums Tinder part a la peche aux talents en rachetant un[…]

15% des adultes americains ont utilise des applications ou des sites de rencontre, et l’usage parmi les jeunes entre 18 et 24 annees a triple ces deux dernieres annees, d’apri?s une etude du Pew Research Center. La Silicon Valley est un berceau de creation pour ces “dating apps”. Notre culture du boulot acharne et bbwdesire l’amour d’la technologie, propres a la region, donnent des resultats parfois pour le moins surprenants.

HEr et Hey!Vina segmentent le marche

Mes applications dites “de niche” paraissent en pleine croissance. Elles s’attaquent a votre marche specifique en fonction de l’orientation sexuelle, l’age ou le statut socio-economique. Creee a San Francisco, Her est une application dediee a toutes les homosexuelles qui a fera le buzz en 2015. Plus recemment, Hey! Vina, basee a San Francisco egalement, se veut une application de rencontre pour ces dames qui souhaitent se Realiser des amies. Le “Tinder de l’amitie”. En se specialisant ainsi, ces applications tentent de penetrer un marche sature et domine avec deux sites majeurs (OkCupid notamment a toutes les Etats-Unis). Avant tout, ces start-up qui visent ces dames ont compris que celui-ci fallait une entree en matii?re differente. Elles misent concernant une experience communautaire, 1 reseau social ou l’on peut juste converser “entre soi”. Her et Hey! Vina seront accessibles gratuitement et n’ont pas encore defini de business model.

Tinder detrone Par.

Aux Etats-Unis, OkCupid, Bumble, Coffee Meets Bagel ou le Francais Happn font de l’ombre au geant Tinder. Mes utilisateurs semblent apprecier une approche plus sophistiquee. A San Francisco, Bumble a decolle car i§a permet aux jeunes filles d’effectuer le premier nullement. Les hommes ne peuvent gui?re lancer une conversation. Un signal rassurant Afin de nos utilisatrices. Pour eviter le harcelement, quelques applications misent egalement concernant votre “quota” de mises en relation – dix par jour seulement dans Hinge, qui permet de rencontrer les amis des amis. Tinder a egalement lance le “super like”, accessible seulement un coup avec jour. Ou comment creer une economie une rarete sur un marche sature.

La majeure partie des applications ont un modele freemium qui propose un abonnement payant Afin de acceder a des fonctionnalites speciales. L’evenementiel constitue aussi un moyen de monetisation. Mais aucune, pas meme Tinder, ne parait avoir trouve le business model bon. La majorite de ces start-ups vivent de millions de dollars d’investissement. Une strategie qui a ses limites du fait les couts eleves en marketing Afin de acquerir de nouveaux utilisateurs.

Linx vise l’elite

Dans la Silicon Valley, les PDG riches et trop occupes pour trouver l’amour fournissent un marche en or Afin de nos createurs d’applications. Et si la cle de la monetisation se trouvait dans l’hyper specialisation ? Linx reste un service de “matchmaking” a l’ancienne, qui prend en charge tout la ti?che de reperer un partenaire. Selon le Pew Research Center, Notre Silicon Valley est l’un des endroits a toutes les Etats-Unis ou l’on compte le plus d’hommes celibataires par rapport a toutes les jeunes filles. Linx leur fournit donc une offre concernant mesure, a 1 prix d’entree de 25 000 dollars. Une somme doublee pour le niveau “platinum”, qui offre onze mises en relation sur 24 mois, suivant le magazine The Guardian. De la clienti?le VIP peuvent payer jusqu’a 50 000 dollars pour des prestations plus specialises, sans compter les bonus pour une relation a long terme ou votre mariage, qui peut couter jusqu’a un quart de million de dollars. Toujours suivant le Guardian, on va pouvoir aussi postuler Afin de etre mis en rapport avec l’un de ces clients VIP, pour 1 tarifs entre 200 et 2 500 dollars. Linx compte une liste reduite de 850 clients, dont bon nombre seront des PDG, des directeurs techniques ou des directeurs financiers.

The league cible des top managers au meme genre, une start-up nee a San Francisco en 2014, baptisee “le Tinder de l’elite” a cree le buzz concernant son modele exclusif. Grace a Notre synchronisation avec les profils LinkedIn et Facebook, The League propose de mettre en relation des individus ayant des niveaux experts equivalents. L’application, qui mise via le respect d’la life privee et l’exclusivite (il va falloir passer plusieurs tests Afin de etre accepte) vise “des personnes qui dirigent des equipes de 300 personnes chez Google ou Facebook” en fonction de sa fondatrice. The League propose un abonnement payant pour sa fonctionnalite intitulee “The Heavy Hitter” : pour 15 dollars par mois, Cela reste possible de surfer via l’application en ne montrant sa photo qu’a ceux qui “le valent bien”.